test

03Sep11
DSC_5185 by Sandrine Giaoui Bourdon
DSC_5185, a photo by Sandrine Giaoui Bourdon on Flickr.


Je change d’hébergeur.

Le service en ligne offert par wordpress.com est vraiment très bien, mais j’ai envie de récupérer d’avantage de liberté dans les paramétrages et donc je file chez un hébergeur classique toujours avec la solution wordpress.org.

Quelques éléments de l’interface restent à traduire, mais l’essentiel est là :

http://alexis.monville.com

et pour suivre le flux :

http://alexis.monville.com/feed/

Avec en préparation, des billets sur clipperz.com, sur getdropbox.com, sur twitter.com et bien sur, les voeux ! Traditionnels mais tardifs… A bientôt !


A la recherche d’une photographie pour Un Jour Une Œuvre, je suis tombé sur les photographies de Trey Ratcliff. Une illustre cet article, une autre est sur Un Jour Une Œuvre ce 28 décembre.

Trey avait mis en sous-titre de sa photo sur flickr.com, une référence a une conférence qu’a donné Kevin Kelly sur les 5000 prochains jours de l’Internet.

Un bon sujet pour les explorateurs du web ?


Vite, une relance verte ! C’est la couverture du n°954 de Courrier International.

L’article d’ouverture de ce dossier, tiré du New Scientist, est un scénario qui présente le monde en 2020, alors qu’il a profité de la crise économique pour changer vers une économie durable.

Nous sommes en 2020, dix ans après le lancement de l’énorme expérience visant à donner à notre pays une économie durable. Nous suivons deux principes de base : nous n’utilisons pas les ressources naturelles plus vite qu’elles ne se renouvellent et nous ne rejetons pas nos déchets plus vite qu’ils ne peuvent être absorbés. […]

Lire la traduction de l’article et la version originale du New Scientist.

La photo est de dupo-x-y sous licence creative commons.


Ce mercredi 12 décembre, nous nous sommes retrouvés au Louvre pour visiter l’exposition consacrée à Mantegna.

Nous ?

Nous c’est Ivan (qui raconte l’expérience sur son blog), Jean-François et moi, trois parmi ceux qui avaient envie de participer à cette expérience de mutualisation des regards dans le monde réel, expérience que nous avons débutée sur Internet avec Un Jour Une Œuvre (http://unjouruneoeuvre.eu).

Une promenade dans l’exposition pour choisir une première toile, le choix se porte sur un petit Saint Sébastien, nous avons pris le temps de regarder, de verbaliser ce que nous regardions, un attroupement s’est créé autour de la toile, certains trépignent pour voir, d’autres interagissent avec nous : « avez-vous vu le cavalier dans le ciel ? », « c’est une souffrance exquise »… Nous avons reproduit l’expérience pour deux autres toiles avec le même effet. Expérience enrichissante que de se laisser porter par ses propres découvertes et par les découvertes des autres, difficile de ne pas se lancer dans l’interprétation de ce que l’on voit, difficile de ne pas lire les petits cartels avant d’avoir vraiment pris le temps de regarder ! Passionnant donc !

A suivre, la retranscription de nos échanges sous forme de fiche de « lecture » sur Un Jour Une Œuvre, ainsi que le prochain évènement « live » le 14 janvier, 17heure, Metro Saint Germain pour une visite de galerie d’art contemporain !


La causerie de l’April du 9 décembre était consacrée à… L’APRIL !

Ses actions passées et à venir et sa campagne d’adhésion (objectif d’atteindre 5000 adhérents d’ici à la fin de l’année)

Comme vous pouvez le constater avec cette barre de progression, l’objectif est atteignable !


C’est aujourd’hui le 60ème anniversaire de la Déclaration universelle des droits de l’homme.

L’occasion de relire ces 30 articles ?

Courrier International a fait un dossier sur le sujet.


charterforcompassion2

Charter For Compassion, est une initiative lancée par Karen Armstrong, qui vise à l’application de la Règle d’Or dans le monde entier.

De nombreuses personnes ont déjà contribué à cette communauté en partageant leur histoire par écrit ou en vidéo.

Karen Armstrong a reçu le prix TED en 2008 pour l’aider à réaliser ce voeux.


Lors d’une réunion entre acheteurs et responsables des systèmes d’information de plusieurs organisations, il a été abordé la question du bon niveau de réduction par rapport au tarif public des licences d’une solution informatique.

Sachant que le coût de maintenance annuel obligatoire était de 22% du prix initial, il était crucial de réussir une bonne négociation… La discussion a montré que le taux de négociation « facile » sans engagement de volume était de -50%. Une des organisations présentes annonce qu’elle a -65%, une plus grosse encore annonce qu’elle a -80%

Les petites organisations qui ont au mieux -50% se taisent…

Lorsqu’un autre annonce qu’un gros opérateur telecom a lui -97% sur le prix tarif, il devient évident à ses organisations qu’il est nécessaire de s’organiser pour mener une négociation conjointe.

Le problème est qu’il est difficile de changer cette solution pour une autre même si des alternatives crédibles existent, le coût d’évolution des systèmes, le coût de formation des personnels serait important. Cela explique donc les tarifs exhorbitants pratiqués, la bonne santé de cette société, et le faible niveau de service proposé aux clients…

Cela devrait encourager à l’avenir a prendre en compte les modèles de commercialisation des solutions informatique avant de s’engager dans leur utilisation, et bien sur d’évaluer le coût complet d’une solution à l’entrée, durant l’usage et à la sortie…


L’APRIL (Association pour la promotion du logiciel libre) mène actuellement une campagne d’adhésion avec l’objectif d’atteindre 5000 adhérents d’ici à la fin de l’année.

Comme vous pouvez le constater avec cette barre de progression, l’objectif est atteignable !

Interopérabilité, libertés informatiques, maîtrise des systèmes d’information, garantie de leurs indépendances vis à vis d’acteurs externes, pérennité des informations manipulées, emploi local, sont quelques un des sujets qui justifient mon adhésion de soutien à cette assiociation.

Pour être encore d’avantage écoutée des responsables politiques, sociaux et économiques, pour financer les travaux sur des dossiers toujours plus complexes, l’APRIL a besoin de votre adhésion.

Cette présentation vous permettra d’en apprendre plus sur l’association et son positionnement dans l’ecosystème numérique.